Dès 1867, les premiers chercheurs remarquèrent l'abondant décor pariétal du dolmen IIIa et très vite, ce monument fut considéré comme un site majeur de l'art mégalithique armoricain. Les travaux récents devaient encore conforter cette appréciation grâce à de nouvelles découvertes. Pour l'essentiel, cet art s'exprime aujourd'hui dans trois secteurs : la tombe du cairn II, la tombe III a et en façade orientale du cairn III.