Ils se devinent en plusieurs endroits. Deux cas sont particulièrement caractéristiques.

La "stèle aux crosses" de la chambre

Cette dalle tranche par son tracé moins appuyé et plus sobre que celui des dalles voisines. On y reconnaît des crosses disposées en deux registres superposés et symétriques par rapport à un axe vertical. Le sommet de la pierre a été retaillé en son milieu pour en ajuster la hauteur à celle de ses voisines, ce qui a mutilé le haut du décor, mais les départs d'épaulements arrondis restent visibles de chaque côté.

On peut ainsi reconstituer une "stèle" d'un type très proche de celle qui forme le chevet de la Table-des-Marchands à Locmariaquer, mais le réemploi s'est fait ici de façon beaucoup moins respectueuse.

Une autre stèle dans le couloir

Plusieurs tracés préexistants semblent y avoir guidé l'exécution d'un décor de style "gavrinien" assez confus :

  • en partie basse, deux "écussons" quadrangulaires ont été secondairement recouverts de chevrons pour l'un et d'arceaux pour l'autre,
  • en partie haute, un grand arceau prend la pierre dans toute sa largeur ; à l'intérieur figure une très belle "crosse" dont la hampe se perd dans un décor spiralé.

Là aussi, le sommet de la pierre semble avoir été mutilé.