À Étiolles, les savoirs et savoir-faire s’illustrent aussi dans l’exploitation bouchère de divers tissus corporels des animaux à des fins alimentaires ou pour la fabrication de produits d’usage.

D’autres connaissances sont mobilisées afin de cuisiner la viande, des abats ou de la moelle osseuse. Ces ressources ont été cuites, séchées ou fumées pour être consommées immédiatement ou de façon différée, constituant ainsi des réserves alimentaires. Des bouillons de viande et de graisse étaient préparés à l’aide de pierres préalablement chauffées dont les fragments parsèment les niveaux d’habitat et probablement dans des récipients en peau ou en écorce aujourd’hui disparus.

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