Les traces charbonneuses

À partir du Seuil, et notamment dans la galerie du Cierge, on retrouve sur les parois de nombreuses traces charbonneuses. Plus de 250 d’entre elles ont été répertoriées dans toute la cavité. Elles consistent parfois en de simples taches résultant de l’impact accidentel d’une torche en cours de déplacement. Parfois, il s’agit au contraire d’ensembles plus conséquents évoquant les traces laissées lors du ravivage d’une torche (ce que l’on appelle un mouchage). D’autres enfin font penser à des marques de balisage. Malgré leur diversité, elles se révèlent être toutes, jusqu’à présent d’époque gravettienne.