La réouverture de Larsa initie une puissante dynamique de recherche, soutenue par le Ministère des Affaires Etrangères (MEAE) qui ouvre à Bagdad en 1977 une Délégation Archéologique Française en Iraq (DAFIq), avec un pensionnaire archéologue et un architecte, sous la direction de J.-L. Huot. Jusqu’en 1990, l’activité des pensionnaires successifs de la Délégation refera de la France un acteur majeur de la recherche en Iraq, le nombre de sites exploités passant d’un seul (Larsa) à une douzaine.