Le dispositif pariétal du Roc-aux-Sorciers est connu essentiellement sur deux secteurs, en amont sur le plafond malheureusement effondré de la cave Taillebourg, en aval sur le fond de l’abri Bourdois.

Cette répartition est liée aux secteurs fouillés. Un sondage de Suzanne de Saint-Mathurin a permis de détecter également l’amorce de sculpture pariétale entre ces deux secteurs, au niveau de la réserve archéologique. Plus loin, dans la partie aval du site, une sculpture n’est pas encore entièrement dégagée. Elle laisse supposer la continuité en profondeur et en longueur du dispositif pariétal au-delà de 50 mètres de long. Se distinguent, un ensemble discret de gravures pariétales qui viennent entamer les sculptures monumentales. L’analyse de l’ensemble sculpté montre une organisation par registre et par thèmes, autant en fond d’abri que sur le plafond. Plusieurs retailles illustrent des reprises.